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  • Six milles à l'horizon
    Six milles à l'horizon
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    Sara Roque 2009 43 min
    Ce court métrage documentaire montre le rôle essentiel qu’ont joué les mères iroquoises durant les événements politiques du 28 février 2006 à Caledonia, en Ontario. En ce jour historique, des membres de la Confédération iroquoise ont érigé des barricades sur une route pour empêcher des travaux de construction sur des terres qui, affirment-ils, leur appartiennent légitimement. Une réflexion sur la résistance, la société et l’histoire des femmes autochtones.
  • Je m'appelle Kahentiiosta
    Je m'appelle Kahentiiosta
    Alanis Obomsawin 1996 29 min
    Kahentiiosta était à Kanehsatake, du début à la fin de la crise. Le film décrit ce qu'elle y a vécu, puis surtout sa comparution au tribunal parce que le Procureur général n'acceptait pas son nom mohawk et enfin sa vie et celle d'autres «warriors» au camp militaire de Farnham.
  • La conquête de l'Amérique II
    La conquête de l'Amérique II
    Arthur Lamothe 1990 1 h 9 min
    Ce documentaire suit des Innus de la Côte-Nord dans la reconquête juridique de leurs rivières à saumon face aux clubs privés et pourvoiries. Nous les suivons, de portage en portage, sur la magnifique rivière Natashquan, jusqu'à un endroit sacré au pied d'une chute, où il reconstituent des moments importants de la vie d'antan à l'intérieur des terres.
  • La conquête de l'Amérique I
    La conquête de l'Amérique I
    Arthur Lamothe 1992 1 h 16 min
    Ce documentaire raconte le pillage des ressources tel que vécu par les Innus de la Côte-Nord. Ils réclament la reconnaissance de leur droit inhérent à l'autonomie politique et administrative, soutenus par l'anthropologue Rémi Savard, qui expose ses thèses historiques et juridiques.
  • Ceux qui attendent
    Ceux qui attendent
    Herménégilde Chiasson 2002 52 min
    Automne de 1999. Fidèles alliés durant des siècles, Acadiens et Mi'kmaq s'affrontent pour la première fois à Burnt Church, une réserve autochtone du Nouveau-Brunswick, dans ce que l'on a appelé la «guerre du homard». Un face à face historique dont la mer est l'enjeu. En vertu de traités conclus avec la Couronne britannique en 1760 et 1761, les Mi'kmaq réclament le droit à une pêche au homard illimitée. Les Blancs entendent tout mettre en oeuvre pour protéger la ressource. Burnt Church, comme Oka, devient ainsi l'un des hauts lieux des revendications autochtones. Au-delà des arguments qui motivent les positions de part et d'autre, ce documentaire nous fait connaître ceux et celles qui vivent ce drame au quotidien, dans ce qui les unit comme dans ce qui les sépare.
  • Vous êtes en terre indienne
    Vous êtes en terre indienne
    Michael Kanentakeron Mitchell 1969 36 min
    Ce court documentaire de 1969 est l'une des œuvres les plus influentes et les plus diffusées à être issues de l'Indian Film Crew (IFC), première équipe de production entièrement autochtone de l'ONF. Il relate la manifestation, en 1969, des Kanien'kéhaka (Mohawks) d'Akwesasne, un territoire qui chevauche la frontière canado-américaine. Lorsque les autorités canadiennes décident de leur imposer des taxes sur leurs achats effectués aux États-Unis – contrairement à ce qui avait été établi par le traité Jay de 1794 –, les manifestants de Kanien'kéhaka bloquent le pont international entre l'Ontario et l'État de New York. Le réalisateur, Michael Kanentakeron Mitchell, est plus tard devenu le grand chef d'Akwesasne. En 2017, le film sera officiellement reconnu comme son œuvre. Vous êtes en terre indienne a été montré à travers le continent, aidant à mobiliser une nouvelle vague de militants autochtones. Il a notamment été projeté durant l'occupation d'Alcatraz, en 1970.
  • Les événements de Restigouche
    Les événements de Restigouche
    Alanis Obomsawin 1984 45 min
    Les 11 et 20 juin 1981, la Sûreté du Québec mène des rafles dans la réserve de Restigouche, en Gaspésie. En cause : les droits ancestraux de pêche au saumon des Micmacs. Les restrictions que le gouvernement québécois tente d'imposer sur cette pêche, source d'alimentation et de revenus pour les Micmacs, ont soulevé colère et consternation. Lancé en 1984, ce compte rendu coup de poing de l'intervention policière a fait connaître Alanis Obomsawin à l'international. Le film comprend un échange mémorable entre le ministre des Pêches, Lucien Lessard, qui a ordonné les rafles, et la réalisatrice. Des décennies plus tard, Jeff Barnaby, réalisateur de Rimes pour jeunes goules, citera ce film comme source d'inspiration. « Pour moi, ce documentaire a cristallisé l'idée que les films peuvent être une forme de contestation sociale... Tout a commencé là, avec ce film. »
  • Le peuple invisible
    Le peuple invisible
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    Richard Desjardins  &  Robert Monderie 2007 1 h 31 min
    Dans ce long métrage documentaire, le duo de réalisateurs derrière L'erreur boréale et Trou Story, Richard Desjardins et Robert Monderie, raconte l'histoire de la nation algonquine du Québec et dénonce ses conditions de vie actuelle.
  • Pluie de pierres à Whiskey Trench
    Pluie de pierres à Whiskey Trench
    Alanis Obomsawin 2000 1 h 45 min
    Les histoires de résistance, de courage et de persévérance sont mises à nu dans cet examen d’une bien triste page de l’histoire du Canada. Au plus fort des tensions qui règnent à Oka en 1990, les femmes, les enfants et les aînés kanien’kehá:ka (mohawks) fuient Kahnawake, craignant pour leur sécurité. Une fois qu’ils ont dépassé le cordon de l’armée canadienne qui encercle leur village, une foule de manifestants non autochtones en furie leur lance des pierres. Cet étalage de haine et de violence viscérales – rarement vu si ostensiblement au Canada – ébranle la nation et révèle les graves dangers qui pèsent sur les Kanien’kehá:ka dans leur lutte pour défendre un lieu sacré.

    Il s’agit du quatrième d’une série de films majeurs signés Alanis Obomsawin sur la résistance des Mohawks d’Oka. Cette mobilisation deviendra le pivot des relations contemporaines entre les nations autochtones et le Canada.
  • Le pays de la terre sans arbre ou le Mouchouânipi
    Le pays de la terre sans arbre ou le Mouchouânipi
    Pierre Perrault 1980 1 h 50 min
    Incorporant des séquences tournées au cours de trois expéditions menées sur une période de dix ans au Mouchouânipi, le vaste territoire ancestral du peuple innu, Pierre Perrault réalise un essai cinématographique sur la place centrale qu’occupe la chasse dans la culture et la cosmologie des Innus. À la différence des films qu’il signe en 1960 pour la série Au pays de Neufve France, dans laquelle les Innus ont très peu de possibilités de s’exprimer, ce documentaire sans narration est axé sur les interactions dynamiques entre les Innus et les archéologues et spécialistes des sciences sociales qu’ils accueillent. La direction de la photographie de ce film sorti en 1980 est assurée par Bernard Gosselin et le montage, par Monique Fortier, d’importantes figures du mouvement du cinéma direct au Québec.

    « De 1960 à 1985, Alexis Joveneau, un missionnaire catholique belge de la congrégation cléricale des Oblats de Marie-Immaculée qui fut le curé des Montagnais de La Romaine (Innus d’Ulamen-Shipit) de 1953 à 1992, a participé à cinq films de l’ONF : Attiuk (1960), Ka Ke Ki Ku (1960), Le goût de la farine (1977), Le pays de la terre sans arbre ou le Mouchouânipi (1980) et La grande allure II (1985).

    Depuis novembre 2017, des allégations d’agressions ont été portées contre M. Joveneau par des membres de la communauté de La Romaine pendant les audiences de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées. Des enquêtes et articles journalistiques récents ont rapporté d’autres allégations d’agressions sexuelles, d’abus physiques, psychologiques ou financiers ayant fait des dizaines de victimes. Le 29 mars 2018, une demande d'action collective a été déposée contre les Oblats de Marie-Immaculée en Cour Supérieure (du Québec). Le 16 novembre 2021, l’action collective a été autorisée. Les Oblats visés par ces allégations sont entre autres Alexis Joveneau, Omer Provencher, Edmond Brouillard, Raynald Couture et Édouard Meilleur. »
  • L'Indien malcommode
    L'Indien malcommode
    Michelle Latimer 2020 1 h 28 min
    Produit à une époque de changements décisifs et de réexamens essentiels, L’Indien malcommode met en évidence la brillante déconstruction du discours colonial d’Amérique du Nord à laquelle procède Thomas King, qui réécrit cette histoire grâce aux voix puissantes de ceux et celles qui perpétuent la tradition de la résistance autochtone.

    À noter : Ce film a été retiré provisoirement de la distribution active lorsqu’on a mis en question l’identité autochtone de la réalisatrice à la fin de 2020, la Première Nation algonquine Kitigan Zibi Anishinabeg ayant en effet nié, au cours d’une enquête de la CBC, avoir quelque lien que ce soit avec la cinéaste. En 2022, à la suite d’une série de consultations importantes réunissant l’ensemble des participants et participantes autochtones dont l’histoire est présentée dans le film, ainsi que le comité-conseil autochtone de l’Office national du film du Canada, la société 90th Parallel Productions, l’ONF et le producteur Jesse Wente sont parvenus à établir une voie à suivre responsable en ce qui concerne L’Indien malcommode. Cette voie passe par la reconnaissance de la contribution collective des protagonistes autochtones qui paraissent à l’écran. Présenté en première sur APTN le 8 avril 2022, le film a en outre été proposé au public sur la plateforme de visionnage en ligne d’APTN.

    Mis à disposition pour la distribution à titre de ressource pédagogique et pour des projections communautaires L’Indien malcommode s’accompagne alors de documents complémentaires conçus pour susciter la réflexion et ouvrir la discussion. Veuillez contacter l'équipe Soutien et relations clientèle ONF pour savoir comment obtenir le film à titre de ressource pédagogique (utilisation en classe) et pour des projections communautaire.
  • Au Upstairs Jazz Bar avec David Amram
    Au Upstairs Jazz Bar avec David Amram
    Alanis Obomsawin 2021 16 min
    Avant d’amorcer l’illustre carrière qui en fera l’une des documentaristes les plus en vue du Canada, Alanis Obomsawin est une musicienne et une chanteuse réputée qui joue également un rôle de premier plan au sein du mouvement pour la défense des droits des Autochtones en Amérique du Nord. Durant cette période sans précédent, elle se lie d’amitié avec le musicien et militant David Amram, à qui beaucoup attribuent la renaissance de la musique américaine. Talent légendaire et multi-instrumentiste, il incarne la passion qu’éprouvent les musiciens pour leur art. Dans cette remarquable conversation enregistrée en 2008 au Upstairs, une célèbre boîte de jazz de Montréal, Alanis et David réfléchissent à leur histoire commune et à une époque où la musique constituait un puissant outil de transformation sociale.
  • Spudwrench : l'homme de Kahnawake
    Spudwrench : l'homme de Kahnawake
    Alanis Obomsawin 1999 56 min
    Randy Horne est un monteur de poutres d'acier de la communauté mohawk de Kahnawake, près de Montréal. Durant la crise d'Oka de 1990, il était connu sous le nom de «Spudwrench». Il se retrouva derrière les barricades pour empêcher la municipalité d'Oka d'agrandir un terrain de golf qui aurait empiété sur un territoire mohawk sacré.

    Comme de nombreux autres Mohawks, Horne a parcouru le continent et travaillé sur certains des plus hauts édifices du monde, sans toutefois perdre de vue ses racines. Spudwrench, l'homme de Kahnawake est à la fois un portrait de Randy Horne et des générations de Mohawks audacieux qui l'ont précédé comme travailleurs dans la construction, et un regard unique derrière les barricades sur un homme qui défend avec passion un territoire sacré.

    C'est le troisième film de la collection d'Alanis Obomsawin sur les évènements de 1990. Les deux autres sont Je m'appelle Kahentiiosta et Kanehsatake : 270 ans de résistance, un long métrage documentaire qui a remporté de nombreux prix un peu partout dans le monde.
  • Sur le dos de la Grande-Baleine
    Sur le dos de la Grande-Baleine
    Diane Beaudry 1993 57 min
    Documentaire sur les débats entourant le complexe hydroélectrique de La Grande Rivière, vingt ans après la signature de la Convention de la baie James et du Nord québécois. Tandis que les uns célèbrent les succès du génie québécois, les autres crient à l'apocalypse et au génocide. Une lutte hautement médiatisée qui a pour enjeu le contrôle de la Radissonie.
  • Mobilisation génération
    Mobilisation génération
    Mélanie Kistabish Eza Paventi , … 2008 10 min
    Le traité 9 signé en 1906 avec le gouvernement fédéral garantissait aux Abitibiwinni une portion de territoire. Cent ans plus tard, ils doivent encore se battre pour faire respecter leurs terres, leur histoire, leur culture et leurs droits. Fanny Wilde, première Procureur de la Couronne autochtone, démissionne de son poste pour se consacrer entièrement à la défense de sa communauté Pikogan et de son peuple. Elle se réapproprie ainsi son rêve, un legs transmis par son grand-père algonquin. Un documentaire touchant sur la détermination des Autochtones à se faire entendre.

    Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l?occasion de s?exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce film a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du Dvd - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.
  • La Couronne cherche-t-elle à nous faire la guerre?
    La Couronne cherche-t-elle à nous faire la guerre?
    Alanis Obomsawin 2002 1 h 36 min
    Long métrage documentaire sur la petite communauté autochtone d'Esgenoopetitj, ou Burnt Church, au Nouveau-Brunswick, à qui le gouvernement canadien semble avoir déclaré la guerre à l’été 2000. Comment expliquer cette attaque? Pourquoi des officiers du gouvernement canadien ont-ils recours à un tel comportement envers des citoyens qui exercent un droit reconnu par le plus haut tribunal du pays?
  • L'art de tourner en rond - 2e partie
    L'art de tourner en rond - 2e partie
    Maurice Bulbulian 1987 50 min
    Ce long métrage documentaire traite de la dernière Conférence constitutionnelle sur les droits des autochtones qui s'est tenue en mars 1987. À la lumière des trois premières conférences qui se sont déroulées en 1983, 1984 et 1985 et qui forment le contenu de L'art de tourner en rond - 1re partie, nous constatons que les revendications sont les mêmes. Encore une fois, dirait-on, elles recueillent les mêmes oppositions. Au-delà du droit des autochtones à l'autonomie, ce sont les bases mêmes de la moralité politique qui sont ici remises en cause.
  • L'art de tourner en rond - 1re partie
    L'art de tourner en rond - 1re partie
    Maurice Bulbulian 1987 57 min
    Ce long métrage documentaire pose un regard fascinant sur le rôle crucial que les peuples autochtones ont joué dans le façonnement de la Constitution canadienne. En 1984, la Conférence fédérale-provinciale des premiers ministres sur les questions constitutionnelles intéressant les Autochtones, un processus tumultueux et déchirant, a opposé le premier ministre Pierre Elliot Trudeau et les premiers ministres des provinces – qui ont refusé d'enchâsser les droits inhérents des Autochtones à l'autonomie gouvernementale dans la Constitution – aux dirigeants autochtones, inuits et métis, qui eux ne voulaient pas renoncer à cette occasion historique de consacrer leurs droits.

    Dans un échange resté tristement célèbre, Bill Wilson, avocat et négociateur en chef kwakwaka'wakwakw, déclare qu'il a deux enfants qui veulent devenir avocats et tous deux premier ministre. Quand il précise qu'il s'agit de filles autochtones, le public masculin éclate de rire et Trudeau répond : « Dites-leur que je vais rester jusqu'à ce qu'elles soient prêtes. » Quelque 30 ans plus tard, la fille de Bill Wilson, Jody Wilson-Raybould, est devenue la première ministre autochtone de la Justice et procureure générale du Canada dans le gouvernement de son fils, Justin Trudeau. La conférence était la dernière réunion constitutionnelle de Pierre Elliott Trudeau avant sa démission, et le processus a été confié à son successeur, Brian Mulroney.
  • La survie de nos enfants
    La survie de nos enfants
    Alanis Obomsawin 2003 1 h 36 min
    Dans ce long métrage documentaire, la cinéaste et artiste autochtone Alanis Obomsawin démontre la détermination et la ténacité du peuple mi'gmaq de Listuguj qui désire gérer lui-même les ressources naturelles de son territoire traditionnel. La survie de nos enfants offre une perspective contemporaine sur la lutte que poursuit le peuple mi'gmaq et sur sa victoire définitive, dont le point culminant est le « Prix pour la rivière la mieux gérée » accordé à la communauté par le gouvernement même qui refusait de reconnaître ses droits traditionnels.
  • Un pays sans bon sens!
    Un pays sans bon sens!
    Pierre Perrault 1970 1 h 57 min
    Essai cinématographique sur la notion d'appartenance à un pays. Se trouve-t-elle enracinée dans le cœur des hommes et des femmes, comme le croient certains? Les Québécois ont-ils assez de maturité pour se donner l'autonomie et un territoire? Qu'est-ce que le pays? Voilà quelques questions soulevées dans le film à une époque où ceux qu'on appelle Canadiens français se questionnent sur leur identité. Le documentaire aborde également la question de l'appartenance à un pays pour les Autochtones au Québec et les Bretons en France.
  • La ville
    La ville
    Abraham Côté 2007 7 min
    Hanté par des visions de la ville des Blancs, un Algonquin court à perdre haleine dans la forêt pour rejoindre sa femme et son enfant et les sauver des envahisseurs. Dans la maison en bois rond, téléphone, télévision, ordinateur font déjà partie du quotidien. Est-il trop tard? Sa tentative de fuir avec sa famille est-elle vouée à l?échec? Des images magnifiques filmées dans le décor enchanteur de la communauté Kitigan Zibi.

    Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l?occasion de s?exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce film a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du Dvd - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.
  • Mary Two-Axe Earley : Je suis redevenue indienne
    Mary Two-Axe Earley : Je suis redevenue indienne
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    Courtney Montour 2021 34 min
    Mary Two-Axe Earley : Je suis redevenue indienne témoigne de la percutante histoire d’une figure incontournable de la défense des droits des femmes au Canada : Mary Two-Axe Earley. Pendant plus de 20 ans, Mary a lutté contre la discrimination sexuelle à l’égard des femmes des Premières Nations, en particulier dans la Loi sur les Indiens du gouvernement canadien.
  • Kanehsatake, 270 ans de résistance
    Kanehsatake, 270 ans de résistance
    Alanis Obomsawin 1993 1 h 59 min
    En juillet 1990, un litige autour d'un terrain de golf qui serait construit sur des terres kanien'kéhaka (mohawks) à Oka ouvrait la voie à une confrontation historique qui ferait les manchettes internationales et s'imprimerait dans la conscience collective du pays. La réalisatrice Alanis Obomsawin – tantôt avec une petit équipe, tantôt seule – a passé 78 jours derrière les barricades kanien'kéhaka pour filmer l'affrontement armé entre les manifestants, la Sûreté du Québec et l'armée canadienne. Sorti en 1993, ce documentaire phare a été vu dans le monde entier, remportant plus d'une douzaine de prix internationaux et entrant dans l'histoire du Festival international du film de Toronto, où il est devenu le premier documentaire à remporter le prix du meilleur long métrage canadien. Jesse Wente, directeur du Bureau des productions audiovisuelles autochtones, en parle comme d'un « moment charnière dans l'histoire du cinéma des Premiers Peuples ».
  • Ruse ou traité?
    Ruse ou traité?
    Alanis Obomsawin 2014 1 h 24 min
    S’appliquant à une vaste étendue dans le nord de l’Ontario, le Traité no 9 reflète les interprétations souvent contradictoires des traités conclus entre les Premières Nations et la Couronne. Pour le gouvernement canadien, ce Traité représente l’abdication de la souveraineté autochtone sur les terres visées alors que, pour les descendants des signataires cris, le but original du Traité – le partage des terres et des ressources qu’elles renferment – a été mal compris et non respecté. Aussi instructif que captivant, Ruse ou traité? trace de façon succinte et puissante le portrait d’une communauté qui tente de faire appliquer les droits lui ayant été conférés par traité et de protéger ses terres. Le film lève aussi le voile sur les complexités des traités modernes. Ruse ou traité? a marqué l’histoire en 2014 en tant que premier film d’une cinéaste autochtone à être présenté dans le volet Masters au Festival international du film de Toronto.