C’est le nom qu’on donnait aux quartiers canadiens français installés autour des usines de filature en Nouvelle-Angleterre. L’historien Richard Santerre et la famille de Rita Paquin nous racontent leurs conditions de vie et comment les veillées de chansons ont préservé un certain héritage du Québec jusqu’à aujourd’hui.
Rosie Pratte, sacristine au presbytère, le violoneux Charles Pagé et les dernières familles parlant français de la Vieille Mine témoignent de comment était la vie autrefois. Ils sont descendants des voyageurs-traiteurs canayens venus s’installer au début du XVIIIe siècle dans les monts Aux-Arcs (Ozark). Une mémoire fragile qui résiste...