L’éducation est le meilleur moyen de promouvoir la culture de la paix. Audacieux et divertissants, les films de cette sélection illustrent brillamment la nécessité de faire valoir le respect de toute vie, le refus de la violence, le partage et la préservation de la planète. To watch this playlist in English, click here. Les films de cette sélection comprennent : Un rêve étrange Si cette planète vous tient à cœur Scared Sacred Le pacifiste à la guerre : une guerre de conscience Retour à Dresden Uranium
L’éducation est le meilleur moyen de promouvoir la culture de la paix. Audacieux et divertissants, les films de cette sélection illustrent brillamment la nécessité de faire valoir le respect de toute vie, le refus de la violence, le partage et la préservation de la planète.
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Les films de cette sélection comprennent :
Un rêve étrange
Si cette planète vous tient à cœur
Scared Sacred
Le pacifiste à la guerre : une guerre de conscience
Retour à Dresden
Uranium
The Hon. Douglas Roche, O.C., is an author, parliamentarian and diplomat who has specialized throughout his 35-year public career in peace and human security issues. He lectures widely on peace and nuclear disarmament themes. Mr. Roche was a Senator, Member of Parliament, Canadian Ambassador for Disarmament and Visiting Professor at the University of Alberta. He was elected Chairman of the United Nations Disarmament Committee at the 43rd General Assembly in 1988. The author of 19 books, his latest is his memoirs, Creative Dissent: A Politician’s Struggle for Peace, published by Novalis in 2008. Mr. Roche holds seven honourary doctorates from Canadian and American universities and has received numerous awards for his work for peace and non-violence, including the Mahatma Gandhi Foundation for World Peace award.
Ce bref coup d’œil au nouveau documentaire de l’ONF sur la vie de Joseph Rotblat, qui a mobilisé les plus grands scientifiques de la planète pour sauver cette dernière de l’anéantissement nucléaire et a remporté le prix Nobel de la paix en hommage au dévouement constant dont il a fait preuve, nous donne envie d’en voir davantage. Jo Rotblat et le mouvement Pugwash ont inspiré les gens et suscité la réflexion partout dans le monde.
« On peut se permettre d’être passionné » lorsqu’il s’agit de débarrasser le monde des armes nucléaires. Voilà les propos que tient dans ce film Helen Caldicott, militante du désarmement nucléaire de renommée mondiale. Il est intéressant de noter que l’ancien président des États-Unis Ronald Reagan affirmait la même chose. Mais Helen Caldicott, elle, y croit.
Le cinéaste lauréat Velcrow Ripper nous entraîne vers les endroits les plus dévastés de la planète, cherchant une lueur d’espoir dans les lieux les plus sombres. Tant à Kaboul qu’en Palestine, à Hiroshima ou à New York, il trouve un filon vers la paix là où l’on prend la décision de choisir « l’autre voie », l’alternative à la violence. Un titre approprié pour un film magnifique.
Au 19e siècle, le gouvernement canadien a garanti aux mennonites arrivant au pays qu’ils ne seraient pas tenus de participer aux guerres, mais ceux qui arrivent par la suite n’ont pas bénéficié d’une telle promesse. Lorsque la Deuxième Guerre mondiale éclate, la communauté mennonite du sud du Manitoba se trouve divisée : faut-il se battre ou non? John Friesen part à la guerre; son frère Ted ne le suit pas. La communauté doit alors s’interroger sur ce que signifie rechercher la paix.
En 1945, le bombardement en tapis de Dresde, en Allemagne, constitue le prélude à la destruction massive qu’engendrera la bombe atomique à Hiroshima et à Nagasaki. Quarante ans plus tard, la ville célèbre sa renaissance avec l’ouverture d’un nouvel opéra. Au nombre des invités figure le pilote canadien d’un bombardier. Aujourd’hui ardent défenseur de la paix, il découvre l’humanité qui a surgi des décombres.
Buffy Sainte-Marie et Rosalie Bertell dans un même film? La chanteuse américaine autochtone et la religieuse scientifique exposent les risques de l’extraction de l’uranium au centre du Canada. Les défenseurs de la puissance nucléaire ont voix au chapitre, mais il est clair que l’extraction de l’uranium a un coût trop élevé : on utilise également ce métal pour produire des armes nucléaires. Et les résidus radioactifs sont extrêmement dangereux.