En raison de la diversité du peuple canadien, parler de religion à l’école peut poser quelques défis. Ces films abordent la question de la foi auprès de gens de toutes les confessions pour faciliter la conversation de manière agréable, délicate et éducative.
En raison de la diversité du peuple canadien, parler de religion à l’école peut poser quelques défis. Ces films abordent la question de la foi auprès de gens de toutes les confessions pour faciliter la conversation de manière agréable, délicate et éducative.
Documentaire qui explore les états de grâce vécus par les mystiques et les personnes en état de méditation. Une occasion d’accéder au cœur du chapitre le plus récent de la recherche scientifique portant sur ce phénomène. Des carmélites et des moines bouddhistes ont accepté de se prêter à l’expérience : le film présente les travaux exploratoires d’une équipe de l’Université de Montréal.
Dans cette courte vidéo, on demande aux protagonistes de Visages de la foi comment les gens de confessions différentes peuvent travailler ensemble pour améliorer la société dans laquelle ils vivent.
Dans cette courte vidéo, on demande aux protagonistes de Visages de la foi d’illustrer par un exemple l’incidence qu’a eu leur foi dans une décision qu’ils ont eue à prendre au cours de leur vie.
Dans cette courte vidéo, on demande aux protagonistes de Visages de la foi quels sont les éléments positifs et négatifs se rattachant à la pratique de la foi au Canada.
Dans cette courte vidéo, on demande aux protagonistes de Visages de la foi comment ils intègrent la pratique de leur rituel religieux dans leur vie au sein d’un monde principalement séculier.
Dans cette courte vidéo, on demande aux protagonistes de Visages de la foi de nommer un aspect de leur foi qu’ils aimeraient faire connaître aux autres.
Dans cette courte vidéo, on demande aux protagonistes de Visages de la foi de citer une croyance religieuse à laquelle ils attachent une importance particulière et d’expliquer comment ils la respectent.
Ce court métrage documentaire nous amène au coeur d'un véritable pow-wow traditionnel. En suivant le parcours de Tony Chachai, jeune Autochtone en quête d’identité, la cinéaste originaire de Manawan se penche sur la culture, le passé et la transmission du savoir et des connaissances au sein des membres d’une communauté atikamekw. Mu par le désir de renouer avec sa famille et ses racines, Tony Chachai livre un témoignage touchant sur le chemin qui l’a ramené auprès des siens. À l’aube de devenir père, il prend conscience de la richesse de cet héritage et célèbre ce passé en dansant dans un pow-wow aux côtés de son cousin Ronny Chachai.
Ce film a été réalisé par Thérèse Ottawa, cinéaste à l'occasion du concours Tremplin NIKANIK, destiné aux cinéastes francophones des Premières Nations du Québec.
Dans un village du Cap-Breton, des moines bouddhistes méditent dans leur abbaye tandis que des pêcheurs acadiens partent en mer relever leurs trappes à homards. Ces deux communautés que tout semble opposer - langue, culture, religion - partagent pourtant plus de ressemblances qu'il n'y paraît. Le film tisse délicatement des liens entre les croyances des deux groupes qui, chacun à leur façon, conçoivent la vie comme un cycle.
Une fois l'an, les moines bouddhistes partent en mer pour relâcher des homards capturés par les pêcheurs. Ces homards pourront poursuivre le cheminement cyclique de la réincarnation qui mène vers l'illumination. De leur côté, les pêcheurs conçoivent la vie comme un cycle naturel qui se renouvelle. En remettant délicatement à l'eau les homards femelles porteuses d'oeufs, ils préservent la vie. Ces oeufs deviendront les homards que pêcheront leurs descendants. Réflexion sur la vie vue comme un cycle, ce film évoque les thèmes du respect mutuel et de la tolérance.
Dans le film Une femme dans la mosquée, Zarqa Nawaz, journaliste et cinéaste, nous entraîne dans l'univers des mosquées d'ici et nous fait connaître les points de vue de spécialistes, de collègues, d'amis et de voisins sur la question de l'accès équitable
Documentaire sur la congrégation Notre-Dame-du-Sacré-Cœur (NDSC), qui a grandement contribué à la sauvegarde de la langue et de la culture acadienne. Convaincue de l’importance de l’éducation pour les femmes, cette communauté religieuse assure un enseignement supérieur en français aux jeunes Acadiennes, offert pour la première fois au Nouveau-Brunswick. Les religieuses NDSC militent aujourd’hui avec la même conviction pour les droits des plus démunis de la société et pour une plus grande place des femmes dans l’Église catholique.