Des soins de santé efficaces, ce n’est pas que la proximité d’un hôpital ou l’accès à un médecin : c’est aussi l’accès au logement et à l’eau potable, le soutien en matière de santé mentale, l’éducation et plus encore. Cette sélection initie les jeunes au sujet de l’inégalité d’accès aux droits fondamentaux. To watch this playlist in English, click here. Les films de cette sélection comprennent : Jordan River Anderson, le messager Le peuple de la rivière Kattawapiskak Hi-Ho Mistahey! (version courte) La contestation de Claude Brunet Des marelles et des petites filles... On a tué l’Enfant-Jésus Courage Haut comme …
Des soins de santé efficaces, ce n’est pas que la proximité d’un hôpital ou l’accès à un médecin : c’est aussi l’accès au logement et à l’eau potable, le soutien en matière de santé mentale, l’éducation et plus encore. Cette sélection initie les jeunes au sujet de l’inégalité d’accès aux droits fondamentaux.
To watch this playlist in English, click here.
Les films de cette sélection comprennent :
Jordan River Anderson, le messager
Le peuple de la rivière Kattawapiskak
Hi-Ho Mistahey! (version courte)
La contestation de Claude Brunet
Des marelles et des petites filles...
On a tué l’Enfant-Jésus
Courage
Haut comme trois pommes
D’une grande actualité, Jordan River Anderson, le messager clôt avec optimisme le cycle entamé avec Le peuple de la rivière Kattawapiskak et consacré aux droits des enfants et des peuples autochtones.
Dans son long métrage documentaire Hi-Ho Mistahey!, Alanis Obomsawin raconte l’histoire du « Rêve de Shannen », une campagne nationale pour que les enfants des Premières Nations aient accès à une éducation équitable et à des écoles sécuritaires et adéquates. Elle rassemble les témoignages de personnes ayant porté la cause de la jeune Shannen Koostachin, emportée dans un accident de voiture en 2010, avec succès d’Attawapiskat jusqu’aux Nations Unies de Genève.
Sur tous les continents, des petites filles dessinent sur le sol des figures sur lesquelles elles sautent à cloche-pied en scandant comptines et chansons naïves : c'est le jeu de la marelle, qui va de la terre jusqu'au ciel... Partout, des petites filles parlent de l'école, de leur futur mari, des enfants qu'elles auront, du métier qu'elles exerceront, de l'avenir qu'elles voudraient meilleur pour elles et les leurs. Trop souvent, cependant, par ignorance, pauvreté, perversion, bêtise, méchanceté ou superstition, les adultes leur volent leur enfance : déni du droit à l'éducation, travail forcé, mutilations et abus sexuels, etc. De l'Inde, de la Thaïlande, du Yémen, du Pérou, du Burkina Faso et d'Haïti, des fillettes âgées entre 8 et 14 ans nous parlent de leur vie. Fragiles et fortes, toutes, elles sont belles. Écoutez bien les voix de Soni, Kamlesh, Mou, Yui, Dalal, Esmeralda, Fatou, Adiaratou, Safi et Maude.
Documentaire sur la lutte citoyenne ayant mené à la réouverture de l'hôpital l'Enfant-Jésus. Le 2 mars 2004, le gouvernement conservateur de M. Bernard Lord annonce que l'hôpital de Caraquet sera transformé en un Centre de santé communautaire. La population de la région se mobilise et pendant un an et demi, les citoyens lutteront pour garder chez eux les services de soins de santé. Un film sur la solidarité humaine.
À Toronto, Izabel, Bebeth, Natasha, Benoît, Grace et Jean, des « travailleurs pauvres » ontariens directement touchés par la crise économique, ont accepté de participer à des rencontres en groupe organisées par le cinéaste Geoff Bowie. Ensemble, ils parlent de la nécessité de cumuler plusieurs emplois pour survivre, racontent le stress généré par la précarité financière et expliquent avec beaucoup de détermination les moyens entrepris pour se sortir de cette situation difficile. Émouvant, éclairant et porteur d’espoir, Courage est un film social participatif qui souligne l’importance de l’entraide et réussit admirablement à dénoncer le tabou de la pauvreté.
Ce court métrage documentaire brosse un portrait intimiste de la pauvreté infantile au Canada, selon le point de vue original de Nance Ackerman, cinéaste et photographe. L’histoire d’Isaiah, 8 ans, suscite une réflexion sur ce que signifie « être défavorisé », sur les défis d’élever un enfant dans la pauvreté et sur les préjugés sociaux.