Il n'existe plus que quelques rares tanneries artisanales au Québec. Chez M. Goulet, de Luceville, on pratique ce métier de père en fils depuis quatre générations. Une visite à sa tannerie-manufacture nous apprend les étapes de la transformation des peaux en cuir, puis en bonnes chaussures pour la drave, la chasse et la pêche. Ce vieux métier qu'on pratiquait autrefois dans toutes les campagnes du Québec se heurte aujourd'hui aux difficultés soulevées par la modernisation de l'équipement et la concurrence étrangère.
Il n'existe plus que quelques rares tanneries artisanales au Québec. Chez M. Goulet, de Luceville, on pratique ce métier de père en fils depuis quatre générations. Une visite à sa tannerie-manufacture nous apprend les étapes de la transformation des peaux en cuir, puis en bonnes chaussures pour la drave, la chasse et la pêche. Ce vieux métier qu'on pratiquait autrefois dans toutes les campagnes du Québec se heurte aujourd'hui aux difficultés soulevées par la modernisation de l'équipement et la concurrence étrangère.