Inspiré d’un poème inuit dont le texte remonte à 1927, ce court métrage d'animation évoque en silence la beauté et la puissance de la nature, ainsi que le lien unissant une mère et sa fille. Sous le regard de sa fille, une Inuite crée une pièce murale couverte d’images du spectaculaire paysage arctique, de l’iconographie et des objets inuits traditionnels. Art et réalité ne tardent pas à se confondre. La réalisatrice Gyu Oh nous présente dans Je ne suis qu’une petite femme l’animation qu’elle a exécutée à la main et qui s’accompagne d’un chant traditionnel dont elle se fait l’interprète.