Naissance d'une famille
Naissance d’une famille nous invite à partager la douleur, les appréhensions et les joies d’où naîtra leur famille. Frère et sœurs se rencontrent pour la première fois à Banff, en Alberta, où ils passent une semaine à échanger au sujet de leur mère et se racontent leur difficile parcours d’enfants adoptifs ou en famille d’accueil. Alors qu’ils s’emploient à rassembler les pièces de leur histoire, des liens se nouent parmi les rires et une famille prend forme.
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Naissance d’une famille nous invite à partager la douleur, les appréhensions et les joies d’où naîtra leur famille. Frère et sœurs se rencontrent pour la première fois à Banff, en Alberta, où ils passent une semaine à échanger au sujet de leur mère et se racontent leur difficile parcours d’enfants adoptifs ou en famille d’accueil. Alors qu’ils s’emploient à rassembler les pièces de leur histoire, des liens se nouent parmi les rires et une famille prend forme.
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scriptTasha HubbardBetty Ann Adam
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directionTasha Hubbard
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producerBonnie Thompson
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executive producerDavid Christensen
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editorHans Olson
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consulting editorScott Parker
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associate producerBetty Ann Adam
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NoneAllan LeaderDarin WilsonPer AsplundBrad Martin
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cameramanThomas DudleyJim Moule
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sound editingPerry Blackman
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sound mixerSerge Boivin
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coloristSerge Verreault
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titlesJacques Bertrand Simard
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data management technicianOliver Lessard
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transcriptsPatricia Garry
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translationRobert Paquin
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production coordinationJasmine PullukattGinette D'SilvaFaye Yoneda
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production supervisionMark PowerEsther Viragh
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marketing directorLeslie Stafford
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program administrationBree BeachGinette D'Silva
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centre operations managerDarin Clausen
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executive directorMichelle van Beusekom
Useful for essays, debates and discussions about Indigenous history in Canada. Explain what the Sixties Scoop was and how it fits into the history of the Canadian government’s relationship with Indigenous peoples. Research what restitutions have been made by the Canadian government regarding the Sixties Scoop; are these restitutions adequate and, if not, what else should be done? Is this family’s experience similar or different from that of non-Indigenous children placed in foster care? Why?
