Un pauvre gueux avait son paradis, là, dans ce parc, sur ce banc. Mais un jour sa place fut prise. «Allons remets-moi ma place ou je vole ton amour!» «Bien, le voici, ton banc, bonhomme! À toi, les rêves de fée, et peut-être aussi le brusque réveil en pleine réalité.»
Un pauvre gueux avait son paradis, là, dans ce parc, sur ce banc. Mais un jour sa place fut prise. «Allons remets-moi ma place ou je vole ton amour!» «Bien, le voici, ton banc, bonhomme! À toi, les rêves de fée, et peut-être aussi le brusque réveil en pleine réalité.»