Une voix de femme laisse des messages sur le répondeur de son amant. «Allô! Tu es là? Où es-tu?» demande-t-elle. À l'écran, un petit poisson est gobé par un gros poisson qui, à son tour, est gobé par un autre. À la fin du film, un poisson encore plus gros gobe le soleil. Ce poème visuel, avec ses dessins à la main en noir et blanc, invite le spectateur à se perdre dans cette beauté singulière. Une sorte de carte routière de l'âme? Un voyage vers la nostalgie? Une tragédie qui se trame? Ici, aucune signalisation routière. La lente dérive …
Une voix de femme laisse des messages sur le répondeur de son amant. «Allô! Tu es là? Où es-tu?» demande-t-elle. À l'écran, un petit poisson est gobé par un gros poisson qui, à son tour, est gobé par un autre. À la fin du film, un poisson encore plus gros gobe le soleil.
Ce poème visuel, avec ses dessins à la main en noir et blanc, invite le spectateur à se perdre dans cette beauté singulière. Une sorte de carte routière de l'âme? Un voyage vers la nostalgie? Une tragédie qui se trame?
Ici, aucune signalisation routière. La lente dérive à travers des paysages surréalistes pousse le spectateur à créer son propre scénario. Le traitement visuel et la trame sonore forment un tout, un ensemble des plus troublants. La tension monte.
Bienvenue au Kentucky évoque une planète à la dérive. Où les eaux montent et où le chant de l'univers remplit le silence.